Alfred Sangoïshi;
navré que monsieur n’apprécie pas un film d'animation quand celui-ci est correctement genré, que l'affiche montre une connotation certaine avec l'industrie animato-graphique et que le terme Grisaia lui soit totalement étranger, après tout il n'est pas donné à tout le bas peuple de posséder une culture ouverte et étendue sur le monde. Je vous invite plutôt à vous rendre dans les sections Biopic et Documentaire, section qui vous siéra bien mieux très chère, vous avez sans doute dû vous perdre dans les méandres des pages qui attirent votre regard par leurs couleurs chatoyante et enivrante, même les plus érudit se perdent quelquefois. Il est vrai qu'il est difficile de déplacer ce périphérique informatique destiné à l'utilisation ergonomique d'un ordinateur, seul les plus habiles ont réussi à dompter cette bête, mais je vais surement perdre vôtres temps si précieux chère amie, en tant que personne de basse lignée toute nouvelle instruction est bonne à prendre pour vous rapprocher de l'élite de ce monde, alors je ne vous ferais pas languir plus longtemps et vous souhaite bonne chance dans votre quête futile de la recherche de l'approbation de vos pairs.

Une contraction de gris et d'aïl débouche sur Grisaia Phantom Trigger, magnifique pamphlet anti-anime, auto critique acerbe de ce monde sirupeux où tous les personnages, costumes, couleurs, arbres, voitures, armes, bref, tous les décors sont sinistrement similaires et sans fraicheur, une industrie kikoojapienne débitant des aventures au kilomètre tous les jours pour satisfaire l'inculture de nos enfants et adulescents en proie aux démons licornesques de la régression nippone.