Film hommage à une photographe de guerre dont le boulot est de parfois immortaliser la mort (mauvais coté des choses) mais pas que. Si je devais le comparer à sympathie pour le diable je dirais que celui ci est bien meilleur sur le fond et sur la forme.

Toujours surprenant et interessant de pouvoir lire des commentaires constructifs, le film est pas mal.

Camille Lepage, honnête, passionnée, un film parfois aux allures de documentaire, mais qui reste clairement énoncés, un beau film. fs

Delta 1,
Heureux de voir que sur se site il y a quand même des personnes raisonnable et assez intelligente pour comprendre et accepter l'avis des autres.

cineman
j'avoue tout, non, je ne la connaissais pas, ton avis diffère complètement du mien, mais c'est aussi ça le cinéma

Son non m'était inconnu jusqu'à aujourd'hui. Avouez-le, pour vous aussi, non? Le film m'a dérangé : ces photographes, dans ce quasi documentaire (ce n'est pas une critique négative!) ne semblent être là que pour rafler le prix Putlitzer! Aucun sentiment réel pour la souffrance des gens sous leurs objectifs. On a bien un ou 2 regards qui se détournent des horreurs , Mais ces gens ne vivent que pour le scoop! Aucune empathie. Un seul mot pour évoquer ce film : froideur!

C'est un Beau Film, une Histoire Vraie, celle de Camille Lepage une Photographe de Guerre, partis jusqu'au bout d'un Continent, jusqu'au bout du Siecle, rencontrer un conflit qui l'attend depuis la Nuit des temps, toucher la BEAUTÉ DES IMAGES, rencontrer les visages, les couleurs, celle du sang des cadavres au milieu de cet affrontement confessionnel, une Jeune Fille qui marche sur ce chemin, munis d'un Sac à dos, et d'un Appareil Photo, un certain courage, comme un Colonisateur qui ne dit pas son NOM, venir voler encore une Histoire, une émotion, qui n'est pas la sienne, en CENTRAFRIQUE, elle n'est pas la bienvenue, on l'accueille à coÛt de machette, et de medaille en tous genres, pourtant elle n'a rien à gagner, + à perdre, quel Journal, qu'elle Pays s'interesserait à cette LUTTE, très peu VENDEUR, des NOIRS qui sentre tus, mais ELLE, elle continue, juste le TRAVAIL D'UNE PHOTOGRAPHE DE GUERRE, INDEPENDANTE, toujours la pensée à l'action, les idées à la psychologie, des limites à ne pas franchir, évitant toute installation de sa part, des Images qui nous plongent de façon instantanëe dans un combat, une histoire, une situation Géopolitique, sans mentir, une Vie à explorer, à échanger, l'Image d'un étranger qui nous regarde, qui nous parle, pourquoi, pour qui, photographier avant de ne plus savoir, avant d'oublier, c'est pourtant la même douleur, cette envie de vivre, de ne pas manipuler, la Joie d'exister malgré le temps, malgré les blessures. FS